Arts

notes du cadrans I. louves

 

un ou deux
que déposaient, ainsi,
façonnant tout autour
— au franges
d’un lieu circulaire, comme tissé
de mouvements doubles —
les ombres
d’un voile de désunion,
une pensée

 

 

et de ceux
que des nuées de voix, même
éteintes, dans la nuit,
s’invaginaient, la voir
migrer

— mais peut-être
était-elle autre,
cette fois, que je ne croyais —
la lueur tranchée,
d’un espace reclus

inondéde paroles grises

 

 

tous naissant
de se décomposer, épars

après
ce que la lune, chavirant
obliquement —

par-dessus la forêt
grise et le ciel,

en dessous, mauve

 

 

 
au bord, surgir
tendre le fond, sans un geste

retourner les pierres

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